Les stars `` illimitées '' Jake McDorman et Jennifer Carpenter parlent de récits non conventionnels

Avec également Bradley Cooper, «Limitless» fait ses débuts sur CBS le mardi 22 septembre.

Basé sur le long métrage, la série CBS Illimité est un drame au rythme effréné et plein d'action sur Brian Finch ( Jake McDorman ), qui découvre le pouvoir stimulant pour le cerveau du mystérieux médicament NZT, puis se retrouve à travailler avec le FBI pour utiliser ses capacités extraordinaires pour aider à résoudre des cas complexes pour eux. Capable d'utiliser 100% de sa capacité cérébrale, Brian est plus efficace que tous les agents du FBI réunis, ce que l'agent spécial Rebecca Harris ( Jennifer Carpenter ) essaie d'utiliser à leur avantage. Mais à l'insu de quiconque, Brian a également une relation secrète avec le sénateur Edward Morra ( Bradley Cooper , reprenant son rôle du film), un espoir présidentiel et un utilisateur régulier de NZT qui a ses propres projets pour son nouveau protégé.

Au cours de cette interview exclusive avec Collider, les co-stars Jake McDorman et Jennifer Carpenter ont parlé de ce qui les a attirés vers le projet, l'approche non conventionnelle de la série en matière de narration, ouvrant le monde du film, la relation difficile entre Brian et le FBI, Eddie Morra's motifs douteux, et à quoi les téléspectateurs peuvent s'attendre du voyage cette saison.



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Collider: Cette émission a une approche non conventionnelle de sa narration, avec une grande partie de ce qui se passe venant des pensées dans la tête de Brian Finch.

JAKE McDORMAN: Ouais. Dans le film, il y avait beaucoup de voix off du point de vue d'Eddie Morra, et cela a été reporté dans la série. La façon dont il est écrit et la façon dont Marc Webb l’a mis en place ont établi la barre pour les prochains épisodes, et c’est vraiment dans la tête de Brian. Brian a un enthousiasme pour cette opportunité qui est un peu délirant. Les gens demandent: «Comment allez-vous maintenir l'action du pilote?», Mais nous le ferons certainement. Être constamment sur NZT va conduire à des choses et des instances comme le pilote, mais il y a un grand appel au réveil où il a dit qu'il était déjà un énorme passif qui est très au bas du totem. Même s’il est un génie, c’est une petite expérience de toxicomanie. Avec la façon dont Marc a mis les choses en place, il a un point de vue unique et cool à ce sujet qui est très excitant.

En tant qu’acteur, est-ce cool pour vous d’en apprendre autant sur ce personnage parce que vous savez à quoi il pense?

McDORMAN: Ouais, je pense que c'est génial. Une grande partie du sous-texte est dit à haute voix, dans de nombreux cas, ce qui donne plus de détails sur qui il est et ce qui le motive. Honnêtement, c’est une telle joie de jouer un personnage déjà si étoffé. De toute évidence, quand il est sur NZT, c'est un aperçu de qui il est, en tant que personne, par ce qu'il choisit de faire avec cette capacité cérébrale déverrouillée. Il continue d'énormes monologues. C’est comme surfer sur une vague. Je veux juste rendre justice au matériel source de Craig Sweeny. Le personnage est vraiment étoffé, dans les deux premiers épisodes de la série, donc c'est vraiment génial pour moi.

Lorsque cette opportunité s'est présentée pour la première fois et que vous avez entendu dire qu'il allait y avoir une adaptation télévisée de ce film, était-ce quelque chose dont vous avez immédiatement hésité ou qui vous a immédiatement intéressé?

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JENNIFER CARPENTER: J'étais enceinte de 8 mois et demi lorsque nous avons tiré sur le pilote. J'ai jeté mon chapeau dans le ring, ne pensant pas que quelqu'un le ramasserait. J'ai fait une cassette dans ma cuisine avec mon gars, qui a un accent pire que le mien. Je pense que je l'ai même envoyé avec des excuses. Mais j'ai vu tous ces noms percutants, et une fois que j'ai récupéré après avoir été assommé par cela et que j'ai lu le script, j'ai réalisé que ce n'était pas ce à quoi je m'attendais et que je voulais en faire partie.

McDORMAN: J'avais vu le film, et je pense que le film touche vraiment à un thème auquel tout le monde peut s'identifier, qui consiste essentiellement à être la meilleure version de vous-même, à accomplir tout ce que vous voulez et à sortir de votre chemin. Il y a cet aspect de réalisation des souhaits dans le film, et cela se traduit par la série. Nous avons également tous les producteurs du film qui produisent le spectacle. Quand j'ai eu le matériel, il était armé jusqu'aux dents de toutes ces puissances créatives. Souvent, c'est vrai, mais ils ne font que couvrir leurs paris et seront très détachés. Avec cela, ils sont tous très impliqués. Bradley Cooper s'engage à être devant la caméra et à reprendre son rôle est un tel vote de confiance dans la qualité du spectacle. De plus, le fait de ne pas refaire le film ou d'agir comme si les événements du film n'existaient pas vraiment pour reprendre la franchise et la repartir à neuf, était vraiment excitant pour moi quand je l'ai lu. Cela s'est produit, et cela ne fait qu'étendre cette chronologie plus loin et élargir cet univers. Le personnage principal du film va croiser les intrigues du personnage principal de la série, et c'est dans une perspective si différente. Vous voyez le monde à travers les yeux d'Eddie Morra dans le film, et maintenant vous le voyez comme ce personnage politique aux intentions ambiguës. Je ne sais pas s’il est un méchant ou quoi. Je ne pense pas qu’aucun d’entre nous le sache. C’est quelqu'un qui est sur NZT, jour après jour, depuis des années. Son plan doit être si avancé avec tant de pièces mobiles que vous ne savez pas vraiment si c'est sinistre, si c'est pour le plus grand bien, ou quoi.

Jake, pensez-vous que vous auriez même envisagé cela, si vous ne faisiez que rejouer le personnage du film?

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McDORMAN: Non, je ne pense pas. Je ne sais pas. Si Craig [Sweeny] l'a écrit, je lui donnerais certainement une lecture parce que Craig est un génie. Maintenant, sachant ce qu'est le spectacle, entendre cela en option semble dégoûtant. Je ne voudrais pas faire ça. Les gens disent parfois: «D'une certaine manière, vous jouez un rôle similaire à celui de Bradley dans le film. Comment ça se passe? » Mais ce n’est pas ça. Ce serait la suite, s'ils refondaient le rôle d'Eddie Morra et que je devrais le jouer à ma façon. Ce serait beaucoup plus intimidant et bizarre. La congruence entre le film et la série deviendrait trouble. Le fait que nous soyons deux bêtes différentes est vraiment excitant et ouvre notre série à la perspective de personnages périphériques, voire de personnages très cruciaux prenant NZT à un certain moment de l'histoire. Je pense que Brian pourrait rencontrer son plus grand adversaire, qui est quelqu'un d'autre dans une autre organisation qui a été sur NZT, ou le personnage de Jennifer pourrait le prendre pour l'aider, d'une manière ou d'une autre. Nous avons des heures et des heures pour jouer dans ce bac à sable, par opposition à un film de 90 minutes.

Surtout en regardant ce que traverse Brian, est-ce que l'agent spécial Rebecca Harris voudrait prendre NZT?

CARPENTER: Je pense qu'après la façon dont elle a perdu son père, ce ne serait jamais une option ni même une tentation.

McDORMAN: Il faudrait que ce soit une circonstance folle.

CARPENTER: Ou ce pourrait être le contraire. Pour comprendre son père, elle voudra peut-être le faire. Je suis juste content que ce ne soit pas entre mes mains.

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McDORMAN: La raison pour laquelle le FBI utilise même Brian est qu'il est en quelque sorte immunisé contre les effets secondaires. Tout le monde sait que s'ils le prenaient, ils souffriraient presque au point de mourir. Et ils ne savent pas pourquoi il est immunisé. Brian sait qu’il est immunisé à cause d’Eddie Morra, mais il ne peut le dire à personne. Le FBI a mis en place un programme où ils ont donné aux sujets de test NZT pour faire exactement ce qu’ils font avec Brian. Ces personnes avaient une formation beaucoup plus formelle que Brian et étaient probablement les meilleurs agents qu'ils ont sacrifiés à ce programme, après avoir succombé aux effets secondaires de l'utilisation de NZT pendant une longue période. La seule raison pour laquelle ils envisagent même de travailler avec Brian est que son corps ne réagit pas négativement aux doses répétées de NZT. Si un autre personnage le prenait sans l'antidote de Morra, ce serait dangereux.

Alors, est-ce que le FBI travaille à contrecœur avec Brian, ou sont-ils simplement heureux d'avoir quelqu'un qui prend du NZT avec qui ils peuvent travailler?

McDORMAN: Le FBI déteste Brian. Je suppose que c’est une relation d’échange.

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CARPENTER: Nous travaillons très, très dur pour obtenir ce qu'il obtient si facilement. Parfois, il arrive avec ces pépites d'informations et n'a aucune idée de l'endroit où les placer jusqu'à ce qu'il puisse les mettre entre nos mains très compétentes, et nous savons comment elles s'appliquent. De manière étrange, il y a compétition, jaloux et ego en jeu.

McDORMAN: À travers les événements du pilote, et indirectement en travaillant avec Brian alors qu'il est un fugitif, elle a eu une expérience plus intime avec lui sur ce médicament et espère qu'il est une personne assez bonne, ou assez naïve, ou juste assez pour lui qu'il ne va pas devenir voyou et faire quelque chose de dangereux. Elle se porte garant de lui parce qu'elle sait que Brian pourrait potentiellement être condamné à beaucoup de peines de prison pour tout ce qu'il fait dans le pilote. Il y a beaucoup de choses pour lesquelles le FBI pourrait le jeter en prison. Elle le sauve, en quelque sorte, et présente son salut au FBI, à la manière de l'utiliser comme une ressource.

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CARPENTER: Cela arrive en un instant, et elle doit s'en tenir à ce choix.

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McDORMAN: Il y a beaucoup de baby-sitting. Il y va comme: «C'est le putain de FBI! C'est génial!' Et elle dit: 'Arrête ça! Pose ça!'

Rebecca regrette-t-elle d'avoir impliqué Brian avec le FBI?

CARPENTER: Oh, ouais. Il est de ma responsabilité et c’est comme essayer de ramasser de l’eau avec vos mains. C’est tout simplement impossible. L'autre chose est qu'il y a cette étrange attraction pour lui parce qu'il est moyen, d'une certaine manière, ce qui pour quelqu'un d'aussi entraîné et capable que Rebecca, ça doit être comme regarder un drôle d'animal à fourrure. Elle dit: «Je ne traîne pas très souvent avec des gens comme vous. C'est chouette. ' Il y a aussi cette innocence à son sujet qui réchauffe son environnement d’une manière à laquelle elle n’est pas habituée. Je ne pense pas que ce monde du FBI dans lequel nous vivons soit aussi froid qu’il est perçu à la télévision, jour après jour. Ce n’est pas aussi noir et blanc. Je pense qu'elle s'amuse beaucoup. C’est merveilleux que Hill Harper et moi ayons le rapport que nous entretenons, car il est facile de laisser la loyauté de notre relation se traduire dans la série. Mais il y a un besoin que Rebecca doit garder Brian parce que cela la fait se sentir plus humaine, d'une manière étrange. C’est pourquoi ce sera une déception encore plus grande s’il ne réussit pas, ou s'il met simplement ses mains dans ses poches et se taisent.

Est-ce que ce monde du FBI est quelque chose sur lequel vous deviez faire des recherches, ou avez-vous déjà joué un rôle de détective dans ce domaine?

CARPENTER: Quand je me suis lancé pour la première fois dans Debra Morgan (sur Dexter ), J'ai fait énormément de recherches sur ce que c'était d'être un flic dans le blues et un flic derrière un bureau, et ainsi de suite, de haut en bas. Donc, j'ai eu l'impression que c'était une transition très facile. Je n’ai pas eu besoin de recommencer parce que je le savais, probablement comme elle le savait, 10 ou 12 ans plus tard. C'était facile. Mais en ce qui concerne les personnages, vous pouvez aimer la musique, mais un musicien peut être éloigné d'un autre. Il n'y a pas vraiment beaucoup de similitudes entre Rebecca et Deb, à part qu'elles me ressemblent beaucoup.

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Et ils sont très différents dans le type de langage qu’ils utilisent chacun.

CARPENTER: Je n'en veux pas. J'ai jamais fait. Je n'ai jamais vraiment apprécié ça comme le souhaite le public. J'ai passé beaucoup de temps en ADR à couvrir la bombe F.

Que pouvez-vous dire sur ce qui va se passer dans cette émission, après l’épisode pilote?

McDORMAN: Nous avons plusieurs fronts différents. Il y a Brian et Rebecca, et ce partenariat qui se forme au FBI. Vous avez le rôle d’Eddie Morra dans tout cela, qui est un point d’interrogation géant. Et puis, vous avez la relation de Brian avec sa famille et son père. Je pense que Craig fait un très bon travail en poussant chaque front en avant, à chaque épisode. La majeure partie des épisodes concerne la relation entre Brian et Rebecca, ce que signifie que ce type entre au FBI et ce qu'il est autorisé à faire. C’est très décevant de voir où Brian pensait intervenir. Il a imaginé obtenir une arme et un badge, et courir à la poursuite des méchants, dès le départ, et il se bat pour le faire. La plus grande partie de cela concerne les cas sur lesquels nous travaillons et la façon dont ces cas établissent plus de confiance entre elle et moi, ce qui se traduit par une plus grande confiance avec le FBI, et par des cas plus grands et plus excitants au fur et à mesure que la série avance. Dans chaque épisode, il y a un développement avec le personnage de Bradley Cooper, directement ou indirectement. Ces choses avancent un peu plus dans chaque épisode.

CARPENTER: Après avoir fait le pilote et après avoir regardé le pilote, je me suis dit: 'Oh, mec, comment vont-ils faire ça 22 fois?' Et puis, après avoir obtenu le deuxième épisode et tourné le deuxième épisode, puis après avoir vu le troisième, je me suis dit: 'Ça va.'

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McDORMAN: Je pense que ma plus grande peur de rejoindre une procédure était que nous allions avoir un pilote de banger et ensuite passer à une procédure policière sérieuse, et ce n’est pas du tout comme ça. Il y a un élément procédural d'épisode en épisode, mais je suis tellement à l'aise avec ça. Il y a la différence entre Brian sur NZT et hors NZT, et la relation entre Brian et Rebecca est tellement amusante. L’émission est très consciente de soi, et c’est un atout considérable. Brian serait un fan de télévision, de films de flics et d'émissions de flics. Craig utilise cette naïveté sur ce que cela signifie vraiment à l’avantage de la série.

Illimité diffusé le mardi soir sur CBS.

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